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Qualité de l'Air Empty Qualité de l'Air

Lun 15 Oct - 9:23
Mesure qualité de l'Air

On sait que les Français, particulièrement dans les grandes agglomérations, respirent un air souvent trop chargé, notamment en particules fines et en dioxyde d’azote. Mais qu’en est-il des pesticides ? Les données manquent. Pour combler cette lacune, une première campagne de mesure des résidus de pesticides dans l’air est lancée lundi 25 juin par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).

« Urgence à agir »


Les prélèvements seront effectués sur cinquante sites en métropole et dans les départements et territoires d’outre-mer, pour atteindre un total d’environ 1 500 échantillons sur la durée de la campagne. La répartition des sites a été choisie afin de prendre en compte les différents types de zones d’habitation (52 % urbains et 48 % ruraux) et de productions agricoles : grandes cultures (40 %), sites viticoles (22 %), arboricoles (22 %), maraîchage (14 %) et élevage (6 %).

Sur le terrain, ce sont les associations agréées pour la surveillance de la qualité de l’air, tel Airparif ou Air PACA, qui assureront les mesures. L’Institut national de l’environnement industriel et des risques pilotera l’analyse des échantillons et l’exploitation des données. Les résultats sont attendus fin 2019 ou début 2020. Ils permettront d’établir un premier état des lieux des niveaux de contamination moyen en France des résidus de pesticides dans l’air ambiant. Ce dernier sera complété par une étude ciblée sur l’exposition des riverains en zones agricoles. Pilotée par l’Anses et Santé publique France, elle devrait démarrer courant 2019.

Source : https://www.lemonde.fr/pollution/article/2018/06/25/la-premiere-campagne-de-mesure-des-pesticides-dans-l-air-demarre-en-france_5320669_1652666.html
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Fred
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Qualité de l'Air Empty Urban Canopee

Jeu 13 Déc - 18:05
Alors que notre monde s'urbanise et que la végétation disparaît des villes, la start up Urban Canopee créé des structures végétales pour lutter contre la chaleur

Le premier prototype verra le jour au printemps prochain à Toulouse avant de s'exporter

Qualité de l'Air 28578561-28111268

Structures aériennes végétalisées pour redessiner la ville résiliente de demain, plus fraîche, plus respirable !
#FightAgainstClimateChange
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Roseline
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Qualité de l'Air Empty Coup de grisou sur les petits bouts

Ven 1 Mar - 9:46
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Qualité de l'Air Captur11
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louix
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Qualité de l'Air Empty Re: Qualité de l'Air

Mer 3 Avr - 18:54
La Bretagne ne manque pas d’air… pollué

Qualité de l'Air Web_pollutionair_MEG_BD

Des records battus, non pas de pluie ni de chaleur, mais de pollution aux particules fines. Le seuil d’alerte, qui est de 80 microgrammes/μg par mètre cube d’air, a été dépassé jeudi dans la plupart des villes bretonnes. Avec par exemple 96μg à Brest, 88 μg à Lorient et Saint-Brieuc, ou encore 80 μg à Rennes. Le facteur déclencheur étant un anticyclone situé au-dessus du pays. « Les conditions météo jouent un rôle, avec un courant venant d’est qui nous apporte du beau temps, et de l’air déjà chargé de polluants. De plus, l’absence de vent fait que les particules ne se dissipent pas », explique Frédéric Vénien, président de l’association Air Breizh, chargée de la surveillance de la qualité de l’air en Bretagne.
Les Bretons mal informés ?

Quelques mesures ont été mises en œuvre : la préfecture de région recommande ainsi aux automobilistes de diminuer la vitesse de 20 kilomètres/heure, limiter l’usage des véhicules diesel non équipés de filtres à particules, pratiquer le covoiturage et préférer l’utilisation des transports en commun. La vigilance est également recommandée pour les personnes présentant des problèmes respiratoires, les enfants en bas âges ainsi que les personnes âgées. « Les particules fines descendent dans les poumons, jusque loin dans les bronches », explique Frédéric Vénien. « Leur accumulation dans l’organisme et la répétition des expositions posent problème, et elles sont reconnues cancérigènes par l’OMS depuis peu », poursuit-il. Mais la population bretonne aurait-elle pu être mieux informée et préparée à ce phénomène ? C’est ce que pense le Collectif Urgence Réchauffement Climatique d’Ille-Et-Vilaine (Curc 35), estimant que « les Bretons sont à nouveau les derniers à être prévenus et protégés ». « Faux », répond Frédéric Vénien, « La Bretagne a été touchée après les autres par cette pollution de l’air. Nous avons déclenché le seuil d’information à la population, et le seuil d’alerte, dès que nos capteurs l’ont détecté, conformément à notre rôle », précise-t-il.
Plusieurs causes pointées du doigt

Mais y-a-t-il d’autres causes, au-delà de la météo? Si la circulation automobile joue bien rôle dans cette pollution, d’autant plus que la France est un pays « accro » au diesel, l’utilisation du chauffage – notamment au bois –  peut être également mise en cause. La faute aussi aux épandage agricoles ? Si la préfecture de Bretagne recommande de « les reporter », rien ne permettrait d’affirmer qu’ils jouent un rôle dans le phénomène actuel. Ce n’est pas l’avis de certains associatifs :  « Oui, l’agriculture joue un rôle dans la pollution de l’air », affirme Jacques Caplat, agronome breton et administrateur de l’association Agir pour l’Environnement. « Dans la période actuelle, il est peu probable que les pesticides soient très présents. Ils sont certes souvent volatils et se retrouvent bel et bien dans les brouillards, l’eau de pluie… et donc, en amont, dans l’air. Mais nous ne sommes pas encore dans une période où ils sont pulvérisés, et il n’y en a donc probablement pas beaucoup actuellement », poursuit-il. De son côté, la Coordination Verte et Bleue, indique quant à elle dans un communiqué faisant suite à un article du Télégramme, que  « [Les] associations qui luttent contre les effets de l’élevage intensif en Bretagne (algues vertes et bleues, pollution de l’eau, toxicité des coquillages) rappellent que les épandages de ces dernières semaines dans une région qui élève 70 % des porcs français ont une lourde responsabilité dans les dépassements des seuils d’alerte ». « Il faut prendre en compte la spécifité agricole de la Bretagne », estime Frédéric Vénien, d’Air Breizh. « On peut retrouver dans l’air des pesticides, mais aussi de l’ammoniaque et de l’hydrogène sulfuré », poursuit-il. Quoiqu’il en soit, la situation ne devrait s’améliorer qu’à partir de ce début de semaine sur la région, alors qu’à Paris, la ciculation alternée vient d’être mise en place ce lundi.



   Question à… Jacques Caplat, agronome et administrateur de Agir pour l’Environnement
   Quelles peuvent être les causes de la pollution par particules fines sur la Bretagne ?

   Les pratiques agricoles actuelles jouent un rôle dans la pollution de l’air. Mais c’est assez difficile à quantifier, faute de mesures ciblées (= au sens premier : mesurer). Les organismes de mesure de la qualité de l’air sont concentrés sur les villes et ciblent le monoxyde d’azote, l’ozone, etc. Dans la période actuelle, il est peu probable que les pesticides soient très présents. Ils sont certes souvent volatils et se retrouvent bel et bien dans les brouillards, dans l’eau de pluie… et donc, en amont, dans l’air. Mais nous ne sommes pas encore dans une période où ils sont pulvérisés. Il n’y en a donc probablement pas beaucoup actuellement. Ce serait différent si nous étions au printemps.

   Les lisiers, quant à eux, dégagent notamment de l’ammoniac et du protoxyde d’azote (gaz à effet de serre) à court terme, et conduisent les sols à dégager des oxydes d’azote à long terme. Ils ont des conséquences sanitaires, même si leur proportion dans l’alerte actuelle est difficile à évaluer. Il serait logique de mesurer les émanations dues au lisier, notamment l’ammoniac. Il faut en effet savoir que l’ammoniac se combine avec les oxydes d’azote et constitue des cristaux de nitrate d’ammonium, qui sont des précurseurs des particules fines.

   Les oxydes d’azotes qui sont actuellement excessivement présents dans l’air ne sont probablement pas issus de l’agriculture, car leur dégagement par un sol chargé en lisier prend du temps (les microorganismes du sol ne sont pas encore assez actifs à cette période). Le pic actuel est sans doute essentiellement provoqué par l’industrie et par les voitures, camions et tracteurs, et notamment par les véhicules diésel. Les voitures à moteur diésel sont bel et bien une source majeure de particules fines. Mais la présence d’ammoniac issue de l’épandage massif de lisier aggrave fortement la situation, car la présence simultanée d’oxydes d’azote et d’ammoniac produit des particules fines, comme je viens de l’indiquer. L’élevage hors-sol et l’utilisation du lisier comme engrais en sortie d’hiver participent bien à la crise actuelle. Et c’est sans doute dans les zones périurbaines ou proches des 4-voies, où se rencontrent les oxydes d’azote automobiles et l’ammoniac agricole, que la situation est la pire.

   Mais il faut ajouter un autre gros émetteur : les feux, pour lesquels il y a deux aspects à prendre en compte. Le premier, c’est le chauffage au bois. Pour ceux dont ce n’est pas le mode de chauffage principal, il est hautement recommandé de ne pas l’allumer actuellement. Pour ceux qui n’ont pas le choix, c’est le « bruit de fond » inévitable… Le deuxième aspect, qui me choque énormément, ce sont les feux dus au débroussaillage, c’est-à-dire tous les bûcherons qui brûlent les branchages des arbres qu’ils débitent (ils sont très actifs actuellement notamment sur les haies), tous les propriétaires de terrains qui brûlent les ronces, branchages et autres déchets verts de l’entretien de leur terrain. Ces feux sont interdits, il est obligatoire d’apporter ces branchages et déchets d
   ‘entretien dans les déchetteries pour qu’ils soient compostés, ou alors de les broyer pour en faire des plaquettes ou du BRF (bois raméal fragmenté). Autant le chauffage au bois est parfois inévitable, autant les feux de broussailles et branches sont interdits et parfaitement évitables. De plus, c’est un gâchis : ces matières organiques sont bien plus utiles comme fertilisant que parties en fumée et réduites en cendres.

http://www.eco-bretons.info/ecomagechosbretagne-ne-manque-pas-dair-pollue/?fbclid=IwAR3Dwk1MtuF8o5Bj6Zb3fmD8E-4Gbso7OUo5zVvx__tLQs_aXmmJHTm3s_4#
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louix
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Qualité de l'Air Empty À Rennes, les citoyens contrôlent (aussi) la qualité de l’air

Mer 10 Avr - 15:08
Depuis trois hivers, une cinquantaine de citoyens volontaires font eux-mêmes des relevés, pour évaluer leur propre exposition et se réapproprier la qualité de l’air.

Si d’autres villes lui ont depuis emboîté le pas, il y a trois ans, Rennes était bien la première ville « à mettre du matériel de mesure de particules fines à disposition de citoyens volontaires. » Ils sont maintenant une soixantaine, à relever durant un mois d’hiver la pollution de l’air devant chez eux, ou sur leur trajet domicile travail.

« C’était une volonté de la mairie qui finance les capteurs », poursuit Jacques Le Letty, chargé de mission Ambassad’air à la Maison de la Consommation et de l’Environnement (MCE), afin que « chacun puisse évaluer sa propre exposition et se réapproprier la qualité de l’air. L’objectif n’est pas de remplacer l’organisme Air Breizh, mais d’être complémentaires. »

« Évaluer sa propre exposition »

La démarche n’est d’ailleurs « pas scientifique et les données ne sont pas exploitées. L’idée, c’est de permettre à chacun de prendre conscience du taux de pollution sur son lieu de vie ou dans les lieux qu’il fréquente. » Mais aussi « d’en parler autour de lui, de favoriser une prise de conscience. On entend encore trop souvent que l’air breton est pur et il y a du vent. Ou des gens qui vivent loin de la rocade et se pensent préservés. »

Mais aux heures de pointe, les grandes artères rennaises voient leur taux de pollution grimper. Sans parler des jours où les conditions atmosphériques favorisent les pics d’ozone ou de particules fines…

Qualité de l'Air 0358fe9aed91853d0274057980340e43-rennes-les-citoyens-controlent-aussi-la-qualite-de-l-air_9

Ambassad’air fournit donc à chaque volontaire deux capteurs durant un mois d’hiver. Un extérieur, qui mesure les particules fines (PM10 et PM2,5), relié à un smartphone dont la palette de couleur (du vert au rouge) analyse la qualité de l’air en direct. Mais aussi un capteur intérieur, qui mesure le taux de CO2 « et donc le confinement. On en a également installé dans des écoles, rapporte Jacques Le Letty. Des professeurs étaient étonnés de voir le capteur virer au rouge au bout d’une matinée. Il était déjà nécessaire d’aérer. »
Un capteur en kit à monter soi-même

Ce dispositif coûtant extrêmement cher (compter 250 € le capteur), il est difficile à généraliser. « On propose donc aux citoyens un capteur à faire soi-même, dont l’achat des composants revient à seulement 25 €. » Le kit de montage est en accès libre sur la page capteur Lufdaten de Wiki Rennes. Outre le prix, « les données sont automatiquement envoyées sur le net et disponible en open data, pour avoir des données de toute l’Europe. »

++ En Bretagne, la pollution de l’air responsable de 3 000 décès par an ?


Qualité de l'Air 00e97b1631ca241cf2d4a964241603b9-rennes-les-citoyens-controlent-aussi-la-qualite-de-l-air_10

Depuis trois hivers, une cinquantaine de citoyens volontaires font eux-mêmes des relevés, pour évaluer leur propre exposition et se réapproprier la qualité de l’air.

Si d’autres villes lui ont depuis emboîté le pas, il y a trois ans, Rennes était bien la première ville « à mettre du matériel de mesure de particules fines à disposition de citoyens volontaires. » Ils sont maintenant une soixantaine, à relever durant un mois d’hiver la pollution de l’air devant chez eux, ou sur leur trajet domicile travail.

« C’était une volonté de la mairie qui finance les capteurs », poursuit Jacques Le Letty, chargé de mission Ambassad’air à la Maison de la Consommation et de l’Environnement (MCE), afin que « chacun puisse évaluer sa propre exposition et se réapproprier la qualité de l’air. L’objectif n’est pas de remplacer l’organisme Air Breizh, mais d’être complémentaires. »

« Évaluer sa propre exposition »


La démarche n’est d’ailleurs « pas scientifique et les données ne sont pas exploitées. L’idée, c’est de permettre à chacun de prendre conscience du taux de pollution sur son lieu de vie ou dans les lieux qu’il fréquente. » Mais aussi « d’en parler autour de lui, de favoriser une prise de conscience. On entend encore trop souvent que l’air breton est pur et il y a du vent. Ou des gens qui vivent loin de la rocade et se pensent préservés. »

Mais aux heures de pointe, les grandes artères rennaises voient leur taux de pollution grimper. Sans parler des jours où les conditions atmosphériques favorisent les pics d’ozone ou de particules fines…
[Le capteur de mesure la qualité de l’air Lufdaten, à placer à l’extérieur de son appartement ou de sa maison.]
Le capteur de mesure la qualité de l’air Lufdaten, à placer à l’extérieur de son appartement ou de sa maison. | DR

Ambassad’air fournit donc à chaque volontaire deux capteurs durant un mois d’hiver. Un extérieur, qui mesure les particules fines (PM10 et PM2,5), relié à un smartphone dont la palette de couleur (du vert au rouge) analyse la qualité de l’air en direct. Mais aussi un capteur intérieur, qui mesure le taux de CO2 « et donc le confinement. On en a également installé dans des écoles, rapporte Jacques Le Letty. Des professeurs étaient étonnés de voir le capteur virer au rouge au bout d’une matinée. Il était déjà nécessaire d’aérer. »
Un capteur en kit à monter soi-même http://www.wiki-rennes.fr/Capteurs_Luftdaten

Ce dispositif coûtant extrêmement cher (compter 250 € le capteur), il est difficile à généraliser. « On propose donc aux citoyens un capteur à faire soi-même, dont l’achat des composants revient à seulement 25 €. » Le kit de montage est en accès libre sur la page capteur Lufdaten de Wiki Rennes. Outre le prix, « les données sont automatiquement envoyées sur le net et disponible en open data, pour avoir des données de toute l’Europe. »

++ En Bretagne, la pollution de l’air responsable de 3 000 décès par an ?
[À Rennes, Christophe Le Goas a fait des révélés de l’air, lors de ses trajets au travail à vélo.]
À Rennes, Christophe Le Goas a fait des révélés de l’air, lors de ses trajets au travail à vélo. | OUEST-FRANCE

Christophe Le Goas a mesuré la qualité de l’air sur son trajet domicile travail pendant un mois

« Quand j’ai quitté Paris pour Rennes, il y a 15 ans, je me suis mis à circuler à vélo. Je fais 15 bornes par jour pour aller au boulot. Mais je me suis vite rendu compte que je respirais des gaz d’échappement… Alors j’ai demandé un capteur à Ambassad’air pour faire des mesures sur mon trajet. Je l’accrochais à mon sac à dos sauf quand le temps était humide.

Si l’air est trop pollué, je dis à ma femme et mes filles de ne pas aller faire un jogging. Aujourd’hui, par exemple, n’est pas un bon jour. Il y a un peu d’azote dans l’air et mas mal de PM2.5, les particules ultra-fines. Le second capteur (intérieur) qu’on m’a prêté, c’est rigolo : je me rends compte qu’il faut s’astreindre à aérer un peu plus…

C’est un peu gadget, mais ça va dans le bon sens : ça permet de réaliser quand l’air est pollué et j’en ai profité pour faire du lobbying auprès de mes collègues, mais ils ont tous une bonne raison pour ne pas covoiturer. Ils habitent trop loin, ou c’est compliqué. Ce serait pourtant une solution contre la pollution. »

https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-les-citoyens-controlent-aussi-la-qualite-de-l-air-6300573?fbclid=IwAR2a8P71BLELe5OmHUSKUBYJbXho95ZpEEtlYCeYc6ZQNd-sUxMeqeou2b4
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louix
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Jeu 23 Mai - 8:17
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Mila
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Ven 31 Mai - 14:12
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